À la demande du pape François, l’Église universelle vit un synode. Il invite à une réflexion sur une Église plus orientée vers la communion, la participation et la mission .
Nous estimons que le monde de l’enseignement a aussi son mot à dire.
Mise en dialogue des photos de Yann Arthus-Bertrand et des citations extraites de l’encyclique du Pape François « Laudato Si »
La pastorale scolaire de Bruxelles-Brabant Wallon vous propose une exposition participative sur le thème de Laudato Si.
Les citations du Pape François sont de nature à susciter une réflexion concrète collective et créative sur l’engagement en faveur de la sauvegarde de la planète et esquisser les contours d’une véritable écologie intégrale.
Cette exposition est à découvrir à la maison diocésaine, il est possible d’emprunter l’ensemble ou certains panneaux pour votre école, n’hésitez pas à nous contacter pour avoir plus d’informations.
Cette exposition est interactive: sur le coin inférieur de chaque panneau vous trouverez un QR Code qui vous redirigera vers un padlet sur lequel vous trouverez un grand nombre de ressources vidéos, clips, textes, animations pour poursuivre la réflexion en classe ou à la maison et où vous aurez la possibilité d’ajouter une citation, une proposition d’action concrète, une pensée, une intention de prière ou une question suscitées par le ou les panneaux de votre choix.
Finalement le Covid n’aura pas fait que des dégâts ! Le temps de confinement a été pour certains un temps de repos et de ressourcement, un temps de remise en question. Pour d’autres, il a révélé la crise du lien à laquelle nous sommes tous confrontés. Quelle joie de se retrouver en présentiel !
Organisée par le service de la Pastorale scolaire du secondaire, la journée qui a rassemblé une cinquantaine de profs venus de Bruxelles et du Brabant Wallon s’est déroulée dans la grande salle de la Maison diocésaine à Auderghem. Le thème du jour était « L’écologie intégrale ».
Dans son allocution d’ouverture et de bienvenue, Claude Gillard, Délégué épiscopal pour l’enseignement, a souligné l’importance de l’encyclique « Laudato Si » qu’il qualifie de « bombe lancée contre la routine ». « C’est une opportunité à ne pas rater » disait-il. Il a continué en évoquant et en insistant sur le nouveau document du projet éducatif de l’enseignement catholique : Mission de l’école chrétienne qu’il a résumé en cinq axes « comme les cinq doigts de la main » : l’éducation cognitive, relationnelle, esthétique, corporelle et spirituelle. Il a terminé en mettant l’accent sur ses encouragements et son combat pour revaloriser le travail pastoral dans les écoles.
Cette journée fut l’occasion d’échanger et de partager des outils, des ressources et des réflexions autour de l’écologie intégrale. Vous trouverez à la fin de cet article, le powerpoint de la journée avec des liens intéressants.
A partir des capsules vidéos sur l’écologie intégrale, de nombreuses idées constructives furent partagées. Pour certains par exemple, l’écologie, c’est « en faire moins mais mieux », pour d’autres c’est une boussole qui nous donne le sens de la marche – c’est comme un Evangile !
L’écologie est l’affaire de tous et chacun peut y trouver sa place ; c’est un travail interdisciplinaire qui concerne toutes les classes et toutes les écoles comme ça devrait être le cas pour la pastorale scolaire, confiée généralement aux seuls profs de religion ! Le Covid est une opportunité pour s’interroger sur notre culture, nos liens avec nous-même, les autres et Dieu d’où la nécessité de faire de l’écologie humaine : rechercher plutôt ce qui fait union en s’ouvrant aux autres par l’échange et le partage. Faire de l’écologie à l’école, c’est faire des choses qui donnent du sens au quotidien de l’élève. Il a été souligné aussi qu’on remarque chez les jeunes, malgré leur volonté, un sentiment d’impuissance, d’être seuls face aux autres et de désespérance. Il faut les stimuler et les encourager à avancer.
La journée a été aussi marquée par un temps spirituel, au début de l’après-midi. Ce fut un moment intense de recueillement et de méditation agrémenté par les chants de louange et des intentions libres de prière. L’Évangile choisi était celui de saint Luc (12,16-28) où Jésus nous fait une réflexion sur ce que nous pouvons faire pour nous approprier davantage l’écologie intégrale, notamment en changeant notre façon de penser, voir les choses, … toujours dans le souci de sauvegarder notre « maison intérieure et commune ».
Un grand merci à vous tous nos fidèles partenaires et à vous chers collègues membres des équipes pastorales dans nos écoles.
La troisième édition de Teach and Go a eu lieu ce 29 août 2021 à 17h à l’église du Christ-Roi à Laeken. Elle a rassemblé une soixantaine de participants, adultes et enfants, venus de différentes écoles de Bruxelles et du B-Wallon. Il y avait des profs de religion de l’officiel, des écoles libres, des écoles européennes, les membres de quelques PO et directeurs.
Ce fut aussi une occasion de lancer l’année pastorale 2021-2022 avec une belle célébration eucharistique présidée par Mgr Jean Kockerols entouré d’un prêtre et de deux diacres, tous engagés dans la Pastorale scolaire de notre diocèse.
La messe a été animée par Sabine Van den Abbeele et sa joyeuse chorale improvisée qui rassemblait amis, famille et participants du jour. Bon à savoir : elle met, sur demande, ses talents au service de la pastorale ! [1]
Concernant les enfants, même s’ils étaient peu nombreux, l’un d’entre eux a exposé le résultat de l’activité réalisée : un cartable dans lequel était placé une série de petits coloriages représentant les qualités. Ils ont ensuite chanté une chanson relative à ce qu’ils avaient fait : « J’ai mis dans mon cartable … ».
Les lectures de ce dimanche s’ajustaient au thème de l’année « S’ouvrir au monde et aux autres ». Au cours son homélie, Claude Gillard a rappelé l’importance de nommer et de valoriser les talents de nos élèves. Il a également souligné l’intérêt de faire correspondre notre parole à nos pratiques. « Mettez la Parole en pratique » (Jc1, 22). En effet, il ne peut pas y avoir d’ouverture au monde et aux autres dans l’hypocrisie : « C’est du dedans, du cœur de l’homme, que sortent les pensées perverses » dit Jésus (Mc7,21). Et la fine pointe de l’Evangile, c’est justement d’oser nommer nos dons et les mettre au service des autres et notamment les jeunes qui nous sont confiés.
La nouveauté de cette année fut la réalisation de signets sur lesquels chaque participant écrivait le nom d’une école afin qu’elle soit portée dans la prière, pendant toute l’année, par le destinataire du signet reçu.
La fin de la célébration fut un moment convivial où nous avons pu échanger et faire connaissance très simplement autour d’un verre d’amitié.
RDV pris l’an prochain ! Et en attendant, Bonne année scolaire à tout le monde !
Voici quelques bonnes nouvelles du Manoir D’Anjou que nous partage notre amie et collègue Monique Defoin :
« Contrairement à certaines écoles, nous sommes restés en présentiel durant quasi toute l’année (2 classes en hybridation pendant un moment).
Á la rentrée de janvier, j’ai proposé aux élèves d’énumérer tous leurs souhaits pour l’année 2021 et les ai rassemblés.
En voici la liste :
Ensuite, durant la période de carême, nous avons proposé aux élèves de noter un souhait (souhait qu’elles puissent essayer de réaliser) sur un œuf qu’elles ont décoré avec la professeure de dessin. L’idée de l’arbre nous venait de leur éducatrice, soucieuse d’animer l’école autour de ce projet…
Pendant la semaine sainte, nous avions prévu de décrocher un souhait par jour et que ce jour-là, nous oeuvrions toutes à le réaliser au sein de l’école.
Comme les cours ont été suspendus, nous l’avons fait à la rentrée. Chaque jour, sous la houlette de l’éducatrice, un souhait était tiré au sort par une élève et inscrit dans un œuf accroché au mur : ce qui a donné ceci :
Quant au cours en 3ème phase, nous avons visionné le film Invictus (avec Nelson Mandela) et de là, nous avons réfléchi sur ce à quoi chacun(e) avait droit pour vivre. Je leur ai présenté les 10 paroles (décalogue) pour montrer à quel point cela concerne l’être humain depuis très longtemps…
Ensuite, nous avons visionné des vidéos sur la Déclaration des Droits Humains (Un jour, une question et Amnesty international) et constaté que les droits fondamentaux déclarés correspondaient bien à ceux que nous avions nommés. Après avoir approfondi la question, nous avons pris conscience que nous pouvions nous mobiliser pour participer à leur réalisation. Chaque élève a relevé un droit auquel elle tenait plus particulièrement et en a fait une petite affiche mise sur un support en classe.
Oui, décidément, cette période de confinement aura fait naître de bien belles choses au cœur de nos élèves !
Paroles en français : Adaptation Marie-Béatrice Aubry
Paroles originale
Hope sleeps without me Her sweet dreams surround me, But I’m left out I’ll need a fix now To believe, to feel
These rooms are dark now These halls are hollow, And so am I She is hard to find now To believe, to see
Hope is what we crave, And that will never change So I stand and wait I need a drop of grace To carry me today, A simple song to say It’s written on my soul: Hope’s what we crave
I won’t turn to dust now Let these tears rust now On my face Give me the spark now To believe, to see
Hope is what we crave, And that will never change So I stand and wait I need a drop of grace To carry me today, A simple song to say It’s written on my soul: Hope’s what we crave
[2x] To live, to die, To lose, to care, To rise above To love again
(Ed. Saint Augustin, Coll. Perspectives pastorales, Suisse 2011, 264 p.)
Ce livre s’adresse aux enseignants de tous niveaux, particulièrement les professeurs de religion, ainsi qu’aux catéchistes. Il nous montre comment Jésus s’y prenait, quelle pédagogie il pratiquait pour faire passer son message.
Le chapitre 1 (p.15 à 66) DEMARCHES ET MODELISATIONS PEDAGOGIQUES
rappelle les théories et les principes de pédagogie générale qui prévalent à notre époque, et dont les grilles d’analyse vont servir à interpréter la « méthode » de Jésus. Les courants constructiviste et humaniste sont privilégiés. Plusieurs schémas illustrent et résument ces théories.
Le chapitre 2 (p. 67 à 166) LA PEDAGOGIE DU CHRIST : aperçu évangélique
m’a paru le plus intéressant. Au plus près du texte, il montre que Jésus s’adresse à plusieurs publics différents (la foule, les disciples, un interlocuteur seul, les pharisiens…) et qu’il adapte sa méthode en conséquence, répondant aux besoins de chacun.
Plusieurs péricopes sont analysées (Les compagnons d’Emmaüs, Zachée, Qui dites-vous que je suis, certains miracles…) Chaque fois les auteurs du livre traduisent en termes pédagogiques les attitudes de Jésus (interrogation/questionnement, apprentissage/enseignement, évaluation formative/ formatrice, bienveillance inconditionnelle, situation-problème, recadrage, etc.) L’éducabilité de tous est soulignée, à condition de s’adresser à chacun à partir de sa situation, de ses représentations.
Le chapitre 3 (p. 167-186) COMMENT LE CHRIST ENSEIGNE : synthèse théologique
est court et constitue un résumé du précédent, en termes plus théoriques. Il présente 8 idées-forces de la pédagogie du Christ :
Il adapte son message au public à qui il s’adresse
Il respecte infiniment ses interlocuteurs
Il croit au principe d’éducabilité
Il part des représentations de chacun (écoute et non-jugement)
Il questionne et sa vie pose question
Il n’hésite pas à se montrer ferme, si nécessaire
Il utilise la médiation (jeu de présence/absence)
Il est parfaitement congruent et cohérent
Le chapitre 4 (p. 189-255) POUR UNE « CATECHESE D’ENGENDREMENT » : pistes et attitudes pédagogiques en enseignement religieux
Avoir comme objectif principal : développer la Vie en abondance. Être au service de l’humanité, en lui ouvrant des horizons nouveaux. Enseigner, éduquer, initier, dans le grand chantier de la diversité. Cultiver la joie de la Bonne Nouvelle. On retrouve ici les propositions d’André Fossion et Philippe Bacq. Ce chapitre intéressera particulièrement les professeurs de religion et les catéchistes, mais peut enrichir la relation pédagogique dans toutes les disciplines.
Une bibliographie abondante (13 pages) clôture l’ouvrage, ouvrant des pistes d’approfondissement.
Critique personnelle
D’un abord facile, parfois humoristique, ce livre rappelle utilement des principes tant évangéliques que pédagogiques, prônés dans toutes nos écoles catholiques, mais pas toujours pratiqués au quotidien…
Quelques réserves cependant :
– Dans un louable souci didactique, il y a beaucoup de répétitions. Mais un lecteur n’est pas un élève à qui il convient de dire les choses deux fois (ou davantage) plutôt qu’une. Du coup l’ouvrage paraît un peu dilué.
– On peut se demander si présenter le Christ comme un « pédagogue » n’est pas quelque peu réducteur. Le message du Christ me semble beaucoup plus qu’un « enseignement » : une révéla-tion, une annonce de salut, une anticipation du Royaume… Ou alors peut-être que nos écoles devraient tendre à être cela aussi ?
– Il y a quelques approximations conceptuelles, par exemple considérer une métaphore comme une comparaison (selon Ricoeur c’est très différent) ou assimiler la kénose à l’Incarnation…
Mais ce sont en somme des détails. Construire sa pratique professionnelle en mettant ses pas dans ceux de Jésus ne peut que faire du bien et rendre joyeux !
Pour commencer, une vidéo méditative : un trait de crayon qui retrace tout le cheminement, de la dernière Cène à la Résurrection.
Animation:
En regardant la video, on peut faire un arrêt sur image et demander aux élèves :
de dessiner la suite de ce chemin
de retracer leur propre chemin de vie jusqu’à aujourd’hui et d’esquisser l’avenir …
Résilience : comment représenter le dépassement d’un obstacle ?
Ceci peut être le point de départ d’un partage…
Comment rentrer dans le mystère de Pâques ?
Certaines écoles ont déjà osé actualiser le chemin de croix. Tantôt chemin de croix solidaire tantôt chemin de lumière, chemin de croix selon l’écologie intégrale ou encore chemin de miséricorde…, ce ne sont là que quelques exemples de la manière dont enseignants ou élèves se sont appropriés le coeur de la foi chrétienne.
Même si les conditions ne permettent pas de se déplacer facilement hors de l’école, il est possible d’afficher certaines étapes de ces chemins actualisés dans l’école, d’organiser un moment d’arrêt pendant un cours, de faire rechercher et représenter par les élèves des actualisations liées aux thèmes de l’écologie intégrale, la solidarité ou la miséricorde.
Chemin de miséricorde :
Une belle actualisation qui fait le lien entre le chemin de croix et quelques-unes des 14 oeuvres de miséricorde (corporelle et spirituelle). Il est possible de s’arrêter à chacune de ces 14 stations ou de simplement sur quelques étapes.
« Récemment lors d’une retraite de classe, une élève évoquait son rêve ultime : celui de devenir riche. Aux interrogations des autres, elle expliquait qu’elle pourrait ainsi ne manquer de rien, s’acheter ce qu’elle voudrait quand elle le voulait et surtout ne dépendre de personne. Ajoutant le délice suprême d’éviter de connaître l’attente et la frustration du désir jamais assouvi. Ses propos me sont revenus à l’esprit en entendant à la radio la chanson de Soprano intitulé «Millionnaire». Il veut, lui aussi devenir riche … d’un sourire, d’humanité, de volonté à reconstruire, de pardon, de sagesse,… Se remplir les poches d’espoir et être pauvre de larmes, de fanatisme et d’amalgames qui divisent. De quoi chacun de nous est-il riche, se sent-il riche et que faisons-nous de cette richesse ? Si la pauvreté était calculée sur la misère matérielle mais aussi la misère morale et spirituelle, pourrions-nous nous considérer comme pauvre ? Comme le souligne le pape François, la période de Carême est plus que jamais propice pour s’interroger sur ce dont nous pouvons nous priver, afin d’aider et d’enrichir les autres. Une période pour accueillir la richesse et la pauvreté du Christ lui-même afin de vivre un Carême fécond. Offrons la chance aux jeunes de chercher et de goûter à la fois à leurs richesses et à leurs pauvretés et d’entrer avec confiance et joie dans la préparation de Pâques.«
Oiseaux mythiques et Pâques
Phénix et pélican pour parler de Pâques de manière symbolique
Ce 3 février, pas moins d’une cinquantaine de jeunes se rencontraient derrière leurs écrans. Au programme : la présentation et le lancement d’un « mouvement plein d’espérance ». Et en effet, s’il y a une seule chose qui reliait tous ces jeunes de 16 à 30 ans ce soir-là, c’était bien l’espérance !
Cinq ans après la parution de l’encyclique « Laudato Si » du pape François, on peine encore parfois à porter un regard optimiste sur l’avenir de notre maison commune. Aujourd’hui, ce n’est pas toujours évident de garder l’espérance au coeur de nos vies. Pourtant, beaucoup de jeunes témoignent d’un bel enthousiasme et d’une volonté de relever les défis de notre génération.
La transition que nous sommes invités à vivre ne consiste pas uniquement à réduire nos déchets et se déplacer en transports en commun… Les composantes sociales et spirituelles sont essentielles. Et ça, la génération laudato si’ le sait bien ! Malgré cela, foi et écologie ne s’allient pas encore assez souvent. Tous ces jeunes motivés qui sont prêts à agir concrètement peuvent être partagés entre des projets écologiques où la spiritualité est mise de côté et des engagements chrétiens où le respect de l’environnement est relégué au second plan. Il est grand temps que foi et écologie s’embrassent et que de cette rencontre naisse une solide et joyeuse espérance ! C’est là qu’entre en scène le mouvement plein d’espérance proposé par Church4You, la Pastorale scolaire de Bruxelles et du Brabant wallon et la Pastorale Ecologie intégrale du diocèse de Liège.
Les circonstances actuelles n’ont pas que du négatif. Cette première soirée par Zoom a permis aux jeunes de tous les coins de la Wallonie (et même en dehors !) de faire connaissance. Après un temps de prière tous ensemble, de la réflexion en petits groupes, Joaquim Lesne (25 ans) compulse dans Laudato Si tout ce qui invite à l’action. Ensuite, Anaïs Guerin (25 ans), membre de Church4You, décrit le projet avec un mind-map coloré : les idées sont là, mais tout est encore à définir selon la direction que prendra le mouvement et donc suivant l’élan des participants. Rien n’est imposé ! Ce mouvement invite donc les jeunes à se réunir géographiquement pour créer une multitude de petites cellules en Belgique, dont les activités et les rencontres seront définies par les personnes intéressées. Respecter le rythme et l’engagement de chacun, de façon à ce que cette invitation réponde le plus exactement possible à la demande de cette génération en quête de sens !
Ce beau témoignage de fraternité du 3 février est déjà un premier pas dans l’application de Laudato Si. Des idées ont été lancées, d’autres sont en train de germer… Rendez-vous le 24 février pour en admirer les premières pousses !