Une journée de feu avec Thérèse de Lisieux, à la basilique !

Je veux passer mon Ciel à faire du Bien sur la terre. Après ma mort, je ferai tomber une pluie de roses, écrivait Thérèse de Lisieux dans son journal. Et puis, cette jeune carmélite est morte. Et tout a commencé. Et continue. La preuve…

Ils annonçaient 90% de pluie sur Bruxelles, ce 3 octobre. Il n’y a pas eu une goutte ! Mais la pluie de roses qui s’est déversée ce jour-là sur plus de 400 jeunes venus de diverses écoles secondaires, ressemblait davantage à de l’Amour. Sous forme de joie, de musique, d’ateliers animés et encadrés par une centaine de bénévoles. Une vraie pluie d’Amour, presque diluvienne, puisque c’était le thème de la journée et que la générosité (aussi sous la forme de 600 sandwichs confectionnés par des bénévoles de la basilique et de centaines d’heures données pour que cette journée puisse avoir lieu) a coulé à flots, au service des jeunes et du bien à faire sur la terre !

Concrètement, une fois arrivés à la basilique, les élèves des 12 écoles inscrites se sont répartis, deux par deux, dans une des 40 fraternités guidées par des profs ou par des bénévoles. Une amie avait cousu 480 bracelets de récup’, correspondant à 40 drapeaux pour que chacun s’y retrouve dans ce joyeux brouhaha intergénérationnel. Car une quantité de bénévoles, de tous âges et de tous horizons, épris d’Amour, de Joie et amis de Thérèse, s’était mise au service de tous ces jeunes pour animer des ateliers spirituels, créatifs, sportifs ou relationnels. Ainsi, ce jour-là, à la fois dans la basilique, en dehors, au dessus ou en dessous, on a vu des jeunes rencontrer des quantités de témoins : qui pour leur parler de l’Amour qui se donne, qui pour faire du foot ou du hip hop chrétien (hé oui, on peut apprendre à « garder un but » dans la vie et faire équipe) qui pour monter les marches de la coupole et réfléchir sur les mérites ou sur la grâce… Ou encore vivre des expériences d’écoute, de silence, de prière, d’oralité, de chants, de création de bijoux chrétiens, de dialogue interreligieux, … Certaines fraternités ont même rejoint une maison de repos des environs pour rencontrer la joie qui peut se vivre au contact et au service des personnes plus âgées…

Le tout dans une ambiance de fête que le groupe Feel God a su enflammer, dans cette immense église qui résonne encore de tout ce qu’elle a entendu alors ; sans oublier la classe de 6PAAA de l’Institut des Ursulines qui s’est mis au service bénévole de la journée, car il y a véritablement de la joie à se donner, comme l’écrivait Thérèse.

Nul doute que si cette pluie bienfaisante a pu s’écouler dans les cœurs ce jour-là, c’est aussi parce que des priants, nuit et jour, se relayent à la basilique 365 jours par an, pour adorer et intercéder humblement, et que la découverte de Thérèse par ses écrits, bien avant la venue des reliques à Koekelberg, a inspiré les professeurs qui ont porté, une année durant, ce projet. Nul doute non plus que Thérèse, mystérieusement, continue son apostolat missionnaire, car notre temps a besoin de messagers courageux, simples et aimants au-delà de toute frontière, malgré leur petitesse. Car l’Amour est plus grand que nos faiblesses. Et  qu’il reste toujours un peu de parfum sur les mains de celui qui vient d’offrir des roses…  

N’hésitons pas à relire « Histoire d’une âme ». Ce journal est de feu ! Et à prier pour que d’autres initiatives poursuivent ce qui s’est vécu et a été semé ce jour-là.  

Journée Pastorale

Comment « tirer de son trésor » du neuf et de l’ancien ?

Comme chaque année, nous organisons notre journée pastorale, à la fois pour nous permettre de nous ressourcer et également pour partager des ressources qui pourront vous être utiles pour cette année scolaire 2023-2024.

Le 23 novembre 2023 de 9h à 16h

Au programme :  

Le matin: un topo de Geoffrey Legrand sur le thème de la transmission et de l’intergénérationnel, puis des rencontres avec de nombreux partenaires et de nombreuses idées d’animations à nous échanger ! 

L’après midi: un atelier au choix pour expérimenter un outil/un thème.

C’est une formation IFEC (code:23BRA139a),

Bienvenue à tous !

« Aimer c’est tout donner « 

Grand rassemblement d’élèves du secondaire à la basilique de Koekelberg.

« Soif d’un amour infini ? »
« Aime et fais ce que tu veux ! »
« Aimer c’est tout donner ! 

Le mardi 3 octobre 2023, de 9h à 15h30,

la basilique de Koekelberg ouvre grand ses portes aux élèves du degré supérieur du secondaire pour vivre un événement hors du commun autour d’une des paroles de St Thérèse :

« Aimer c’est tout donner »


En effet, 2023 est une année de triple mémoire :

  • 150 ans de la naissance de Thérèse Martin à Alençon – 1873 – (Normandie, France), celle qui allait devenir, selon certains la « plus grande sainte des temps modernes » ;
  • 100 ans de guérison miraculeuse (1923) de Maria Pellemans, une jeune paroissienne de Koekelberg atteinte de la tuberculose, lors de son pèlerinage à Lisieux. Ce miracle a été retenu pour la canonisation de Thérèse en 1925.
  • Enfin, Thérèse a été choisie, pour une période de deux ans (2022-2023), comme ambassadrice de l’UNESCO. Le message de paix de sa spiritualité reçoit, ainsi, une reconnaissance universelle.

L’objectif de cette journée est que chacun de nos élèves puisse découvrir ou se sentir interpelé dans l’appel qu’il a à aimer à travers un panel d’ateliers :  créatifs, musicaux, sportifs, relationnels et spirituels.

Nous invitons les membres de directions et les professeurs à se joindre à nous, de 9h00 (arrivée 8H30) à 15h30, pour vivre avec vos élèves, une journée d’expérience unique. Inscription obligatoire pour le 3 septembre 2023 au plus tard.

Calendrier Ramadan/Carême/Pessah

Certaines années nous offrent des opportunités extraordinaires…

Comme, par exemple, de pouvoir vivre en même temps les fêtes de Pessah, la semaine sainte et Pâques, le Ramadan et l’Aïd el Fitr… surtout si le nouveau calendrier scolaire nous permet de le vivre durant 7 semaines, de façon trois fois sainte ! 

Voilà quelques-unes des bonnes raisons qui nous ont poussé à vous proposer ce calendrier interconvictionnel, mine d’or de ressources textuelles, musicales, solidaires et même culinaires ! Comme une belle occasion de nous retrouver, de redécouvrir nos racines spirituelles, ces trésors de sagesse, et d’y puiser la sève d’un renouvellement intérieur, qui ne saurait que rejaillir en actions de solidarité, en œuvres de paix. 

En route… ensemble

Ce calendrier a été réalisé en collaboration avec le centre El Kalima et la Synagogue Beth Hillel

Vivre le dialogue islamo-chrétien à l’école, comment ?

Le lundi 14 novembre dernier, une journée de formation autour du dialogue islamo-chrétien à l’école  a rassemblé une soixantaine d’acteurs du monde scolaire.

Cette journée avait pour but de permettre aux enseignants, aux directions et aux PO, de réfléchir sur comment intégrer nos élèves musulmans dans nos activités pastorales.  

Le frère Benjamin Kabongo, ofm[1], a donné une conférence passionnante sur les bases nécessaires au dialogue entre musulmans et chrétiens.  L’accueil des élèves musulmans est dans le droit fil de l’inclusion, de l’égalité des chances, de l’ouverture à la différence et à l’accueil de l’autre tel qu’il est : c’est ce que l’église catholique soutient en profondeur pour ses écoles[2]

Le dialogue, c’est être d’accord de nos désaccords, a rappelé le conférencier non sans humour.  Derrière cette phrase, une position essentielle, la reconnaissance de l’autre différent de moi, base indispensable pour une ouverture bienveillante face  à la différence. 

Le franciscain a ensuite montré que, si plusieurs points de la foi divergent, il y a néanmoins des fondements théologiques communs qui peuvent rapprocher les musulmans et les chrétiens.

Enfin, en s’inspirant du Pape François[3], il a redonné les trois éléments que nécessite tout dialogue : être au clair avec sa propre identité, s’ouvrir à l’altérité et être dans une sincérité d’intention

La conférence fut suivie d’un intense moment d’échange en petits groupes, prolongé par une table ronde avec des acteurs de terrain. Plusieurs questions ont émergé lors de cette table ronde : Comment célébrer avec les musulmans ? Comment articuler un projet d’école catholique avec une dimension multiculturelle ? Comment être à l’écoute des élèves sans se perdre ?

Ensuite, les participants ont partagé un repas sous forme d’auberge espagnole, une façon de se rencontrer à travers la nourriture.

Une célébration interreligieuse autour des noms de Dieu a permis de prier ensemble : la première sourate du Coran chantée par l’imam de la mosquée de la Fraternité  de Molenbeek et le Prologue de l’Évangile de Jean chanté par l’assemblée, ont permis un temps de contemplation du Tout-Autre, l’Au-delà de tout que nous essayons de nommer,  Lui qui nous a appelés le premier[4]

Enfin, l’après-midi a été consacré à des ateliers pour approfondir différents aspects du dialogue islamo-chrétien à l’école, découvrir des outils et construire des projets.

De l’avis unanime, cette journée fonde un commencement.  

Un Padlet a été spécialement fait pour cette journée. Vous y trouverez l’enregistrement de la conférence, de la célébration et les différents outils proposés par les intervenants lors des ateliers !


[1] Le frère Benjamin Kabongo (Congo) est franciscain, il est responsable de l’Unité Pastorale ND de Val Duchesse à Bruxelles et travaille actuellement à un doctorat dans le domaine du dialogue islamo-chrétien.

[2] La Congrégation pour l’éducation catholique a publié le 29 mars 2022 une Instruction intitulée « L’identité de l’école catholique pour une culture du dialogue »

[3] Fratelli tutti, encyclique sur l’amitié et la justice sociale, Pape François, 3 octobre 2020

[4] Dire Ton Nom , un chant de Danielle Sciaky et Michel Wackenheim/ADF-Musique

Rencontre autour de Sainte Thérèse de Lisieux.

Quand les profs de religion se préparent à la quinzaine thérésienne

Un mercredi par mois, dans la joie et la détente, les professeurs de religion se rencontrent, tous niveaux et réseaux confondus, pour échanger dans une ambiance très conviviale. Ces rencontres permettent de se préparer aux festivités de la quinzaine thérésienne de septembre 2023.

Un ou plusieurs intervenants introduisent un thème en lien avec Thérèse de Lisieux.

Pour les profs de religion qui se retrouvent, c’est toujours un moment très convivial, enrichissant dans les échanges, très spontané et stimulant!!!

« Parler aux jeunes de la vieillesse, de la souffrance, de la fin de vie, de la mort et des soins palliatifs »

Parler de la fin de vie et de la mort est une entreprise délicate… Pourtant la mort ne devrait pas être un tabou, elle est au contraire à intégrer dans notre culture comme une phase naturelle de la vie.


Chacun devrait apprendre à vivre « en confiance », cherchant à trouver et à donner un sens à sa vie en sachant que la mort peut survenir à tout âge.

Le projet « Parler aux jeunes de la vieillesse, de la souffrance, de la fin de vie, de la mort et des soins palliatifs » se base sur la lecture d’un livre d’Attilio Stajano : « Prends mes mains dans les tiennes », éd. Mols, 2020, un livre de témoignages de l’activité d’un volontaire en soins palliatifs, un livre sur le sens de la vie tel qu’il est découvert dans les rencontres des derniers jours.

La lecture partielle de ce livre avec les jeunes est complétée par des informations générales sur l’approche de la fin de vie et sur les soins palliatifs, par des témoignages de bénévoles et par des discussions qui permettent aux élèves de réfléchir sur la souffrance, la maladie, la vieillesse, le deuil, le désespoir, l’amour, la joie, le bonheur, le sens de la vie.

Place est donnée aux élèves pour exprimer leurs émotions, nommer les sentiments qui en résultent, poser leurs questions, interagir avec les bénévoles, …

Le projet est divisé en trois rencontres (l’idéal pour que les élèves puissent rentrer pleinement dans le sujet) et idéalement aussi, chaque rencontre s’étend sur deux périodes de 50 minutes.

Nous pouvons adapter le projet en fonction de la classe et des élèves et éventuellement le concentrer sur deux rencontres de 2X5O min. Mais nous pensons qu’il sera plus difficile de réduire les séances à 50 min surtout si l’on souhaite que ces rencontres soient véritablement un lieu d’échange, de partage et d’écoute.

Les rencontres sont séparées l’une de l’autre par une ou deux semaines pour donner la possibilité aux élèves de lire le livre qui leur sera prêté.

Chaque rencontre est encadrée par deux bénévoles en soins palliatifs, dont Attilio Stajano (auteur du livre) ainsi que par un membre de la petite équipe responsable du projet  (Annick Hilbert, chimiste et bénévole en SP, Alexandra Boux ou Marie Hubermont, responsables en pastorale scolaire et enseignantes).  

Pour en savoir plus (RCF et Pastoralia):

Un cœur et une oreille qui écoutent…  

Depuis quelques années, des bénévoles se mettent au service des enfants dans les écoles fondamentales et secondaires. Deux par deux, ils viennent quelques heures par semaine pour écouter les enfants qui souhaitent ouvrir leur coeur pour y déposer leurs tracas. 4 écoles bénéficient déjà de cette proposition. Si vous souhaitez en savoir un peu plus, voici une vidéo de présentation. N’hésitez pas à nous contacter.

Dans son roman « Momo », l’écrivain allemand Michael Ende a merveilleusement décrit comment la manière dont il est écouté peut transformer un être. Momo est une petite fille qui sait si bien écouter qu’elle transforme les gens en leur redonnant confiance. Ils viennent lui parler, elle n’a pas besoin de leur répondre, de leur prodiguer des conseils ; elle les écoute, simplement, et cela leur suffit pour se sentir acceptés, compris, aimés. Ils peuvent dès lors répondre d’eux-mêmes et changer de comportement. L’écoute est donc une forme d’amour, d’empathie et de compréhension. Si Momo fait du bien à ceux qu’elle écoute, c’est qu’elle ne juge pas ce qu’ils lui confient. Et en ne jugeant pas, elle leur donne le courage de dire tout ce qu’ils ont dans et sur le cœur. Sentir que cette petite fille les écoute sans porter de jugement, qu’elle les accepte tels qu’ils sont, ne peut qu’être bienfaisant, car cela les libère de la peur de ce qu’ils portent en eux et qu’ils aimeraient refouler. (Anselm Grün, Écouter et regarder avec son cœur, Ed. Salvator, 2018)

Le texte “Mission de l’École Chrétienne” rappelle combien « dans la tradition chrétienne, la personne est d’abord considérée comme un être de relation ». C’est ainsi que cette intuition d’un nouveau « ministère de l’Écoute » a été proposée aux écoles qui le souhaitaient.

La genèse du projet… et ses pourtours.

Nous réalisons tous à quel point certains jeunes sont en souffrance et ne se sentent plus « être en relation » ni à la maison, ni à l’école. Or, chacun sait que des espaces existent déjà dans certains établissements tels que des groupes Ecoute’Emoi, “Bulle d’air”, CRAN, Seb, No Blame, etc… où ils peuvent se confier et déposer des soucis souvent liés à du harcèlement comme l’explique Catherine, une des initiatrices du projet.

Le frère Alois de Taizé, fort de sa très longue expérience d’écoute au sein de cette Communauté œcuménique, a lancé un appel pressant à susciter, dans les lieux où vivent les jeunes, des « cœurs qui écoutent ».

Depuis lors, une petite équipe a réfléchi à une façon d’être mieux « à l’écoute » des jeunes, pour répondre à ce besoin de plus en plus urgent « sans pour autant nous substituer au travail essentiel réalisé par les Centres PMS ! Dans ce souci-là, poursuit Catherine, nous avons rencontré Sophie de Kuyssche (Secrétaire générale – Secrétariat général de l’Enseignement catholique – Fédération des Centres PMS libres) qui estime qu’il n’y a jamais trop de personnes pour soutenir les jeunes dans les écoles et qu’en conséquence, il y a de la place pour une structure d’écoute de bénévoles. Ceux-ci seraient invités, si nécessaire, à orienter certains jeunes vers des ‘professionnels’ internes ou externes, en accord avec la direction. Sophie de Kuyssche demande que ces “écoutants” aient des missions définies et connues de tous (professeurs-direction-PMS). L’extrait tiré du livre d’Anselm Grün pourrait servir de balise… »

Concrètement…

Il existe déjà dans les écoles, des personnes qui sont de réelles présences auprès des jeunes ; des personnes qui, spontanément et gratuitement, “écoutent”. Il s’agit parfois d’un professeur, d’un éducateur, d’un bibliothécaire, d’un membre du personnel ouvrier, d’un retraité familier des lieux…

Mais quand il n’y en a pas, quelques personnes ressources extérieures à l’école ont été formées à une écoute ajustée et ont accepté de donner quelques heures pour se mettre à l’écoute dans les écoles qui le demandaient. Il s’agit d’anciens parents, de professeurs pensionnés ou simplement de personnes d’écoute, qui ont accepté de se mettre bénévolement au service des jeunes…  

Concernant ces bénévoles, l’idée du projet c’est d’abord de leur proposer un espace de formation mais aussi, trois fois dans l’année, un temps de rencontre, de partage et de relecture de leur expérience d’écoute, ainsi que l’une ou l’autre conférence sur les grands enjeux auxquels sont confrontés les jeunes d’aujourd’hui.

Quelques-uns de ces bénévoles ont rencontré directions, professeurs et éducateurs pour dans un premier temps, sentir ensemble comment entrer en relation et au service des jeunes de la manière la plus ajustée, en alliance avec toutes les personnes qui œuvrent déjà au service de la jeunesse… mais qui sont souvent débordées ! Ce sera parfois en servant de la soupe, ou en habitant d’une présence silencieuse l’oratoire de l’école, ou encore en marchant dans la cour comme le faisait jadis le frère Mutien-Marie, en rencontrant des jeunes lors des « jours blancs », autour d’un atelier jeux de société…. Place à la créativité d’un cœur qui écoute ! L’important, c’est qu’à travers la présence et l’écoute de ces bénévoles, les jeunes puissent un tout petit peu « déposer leurs paquets, les partager à quelqu’un puis repartir un peu plus allégés », et que de cette manière, grâce à un bon regard posé sur eux, ils puissent sentir qu’ils valent quelque chose. Une autre manière d’espérer « qu’ils aient la Vie et qu’ils L’aient en abondance » (Jn 10, 10).

L’équipe porteuse du projet :

  • Alexandra Boux, professeur de Religion
  • Maïté Degryse, Pastorale scolaire Bxl-Bw
  • Catherine Jongen, Thérapeute 
  • Vinciane Pirotte, Déléguée épiscopale pour l’enseignement Bxl-Bw