Quelques ressources épinglées parmi les ressources « Autour de Pâques »

Pour commencer, une vidéo méditative : un trait de crayon qui retrace tout le cheminement, de la dernière Cène à la Résurrection.

Animation:

En regardant la video, on peut faire un arrêt sur image et demander aux élèves :

  • de dessiner la suite de ce chemin
  • de retracer leur propre chemin de vie jusqu’à aujourd’hui et d’esquisser l’avenir …
  • Résilience : comment représenter le dépassement d’un obstacle ?

Ceci peut être le point de départ d’un partage…

Comment rentrer dans le mystère de Pâques ?

Certaines écoles ont déjà osé actualiser le chemin de croix. Tantôt chemin de croix solidaire tantôt chemin de lumière, chemin de croix selon l’écologie intégrale ou encore chemin de miséricorde…, ce ne sont là que quelques exemples de la manière dont enseignants ou élèves se sont appropriés le coeur de la foi chrétienne.

Même si les conditions ne permettent pas de se déplacer facilement hors de l’école, il est possible d’afficher certaines étapes de ces chemins actualisés dans l’école, d’organiser un moment d’arrêt pendant un cours, de faire rechercher et représenter par les élèves des actualisations liées aux thèmes de l’écologie intégrale, la solidarité ou la miséricorde.

Chemin de miséricorde :

Une belle actualisation qui fait le lien entre le chemin de croix et quelques-unes des 14 oeuvres de miséricorde (corporelle et spirituelle). Il est possible de s’arrêter à chacune de ces 14 stations ou de simplement sur quelques étapes.

Chemin de croix à la lumière de Laudato Si’:

Du Chemin de croix au Chemin de Lumière

Chemin solidaire

Quelques ressources en vrac …

Extrait du padlet

« Récemment lors d’une retraite de classe, une élève évoquait son rêve ultime : celui de devenir riche.
Aux interrogations des autres, elle expliquait qu’elle pourrait ainsi ne manquer de rien, s’acheter ce qu’elle voudrait quand elle le voulait et surtout ne dépendre de personne. Ajoutant le délice suprême d’éviter de connaître l’attente et la frustration du désir jamais assouvi.
Ses propos me sont revenus à l’esprit en entendant à la radio la chanson de Soprano intitulé «Millionnaire». Il veut, lui aussi devenir riche … d’un sourire, d’humanité, de volonté à reconstruire, de pardon, de sagesse,… 
Se remplir les poches d’espoir et être pauvre de larmes, de fanatisme et d’amalgames qui divisent.
De quoi chacun de nous est-il riche, se sent-il riche et que faisons-nous de cette richesse ?
Si la pauvreté était calculée sur la misère matérielle mais aussi la misère morale et spirituelle, pourrions-nous nous considérer comme pauvre ?
Comme le souligne le pape François, la période de Carême est plus que jamais propice pour s’interroger sur ce dont nous pouvons nous priver, afin d’aider et d’enrichir les autres.
Une période pour accueillir la richesse et la pauvreté du Christ lui-même afin de vivre un Carême fécond.
Offrons la chance aux jeunes de chercher et de goûter à la fois à leurs richesses et à leurs pauvretés et d’entrer avec confiance et joie dans la préparation de Pâques.
« 

Oiseaux mythiques et Pâques

Phénix et pélican pour parler de Pâques de manière symbolique

Affiche

Un mouvement plein d’espérance !

Ce 3 février, pas moins d’une cinquantaine de jeunes se rencontraient derrière leurs écrans. Au programme : la présentation et le lancement d’un « mouvement plein d’espérance ». Et en effet, s’il y a une seule chose qui reliait tous ces jeunes de 16 à 30 ans ce soir-là, c’était bien l’espérance !

Cinq ans après la parution de l’encyclique « Laudato Si » du pape François, on peine encore parfois à porter un regard optimiste sur l’avenir de notre maison commune. Aujourd’hui, ce n’est pas toujours évident de garder l’espérance au coeur de nos vies. Pourtant, beaucoup de jeunes témoignent d’un bel enthousiasme et d’une volonté de relever les défis de notre génération.

La transition que nous sommes invités à vivre ne consiste pas uniquement à réduire nos déchets et se déplacer en transports en commun… Les composantes sociales et spirituelles sont essentielles. Et ça, la génération laudato si’ le sait bien ! Malgré cela, foi et écologie ne s’allient pas encore assez souvent. Tous ces jeunes motivés qui sont prêts à agir concrètement peuvent être partagés entre des projets écologiques où la spiritualité est mise de côté et des engagements chrétiens où le respect de l’environnement est relégué au second plan. Il est grand temps que foi et écologie s’embrassent et que de cette rencontre naisse une solide et joyeuse espérance ! C’est là qu’entre en scène le mouvement plein d’espérance proposé par Church4You, la Pastorale scolaire de Bruxelles et du Brabant wallon et la Pastorale Ecologie intégrale du diocèse de Liège. 

Les circonstances actuelles n’ont pas que du négatif. Cette première soirée par Zoom a permis aux jeunes de tous les coins de la Wallonie (et même en dehors !) de faire connaissance. Après un temps de prière tous ensemble, de la réflexion en petits groupes, Joaquim Lesne (25 ans) compulse dans Laudato Si tout ce qui invite à l’action. Ensuite, Anaïs Guerin (25 ans), membre de Church4You, décrit le projet avec un mind-map coloré : les idées sont là, mais tout est encore à définir selon la direction que prendra le mouvement et donc suivant l’élan des participants. Rien n’est imposé ! Ce mouvement invite donc les jeunes à se réunir géographiquement pour créer une multitude de petites cellules en Belgique, dont les activités et les rencontres seront définies par les personnes intéressées. Respecter le rythme et l’engagement de chacun, de façon à ce que cette invitation réponde le plus exactement possible à la demande de cette génération en quête de sens ! 

Ce beau témoignage de fraternité du 3 février est déjà un premier pas dans l’application de Laudato Si. Des idées ont été lancées, d’autres sont en train de germer… Rendez-vous le 24 février pour en admirer les premières pousses !

Garance Blondel, 23 ans.

À la découverte intérieure d’une église

Pendant trois semaines, le temps de travail à distance des élèves de Mme Sobieski a été consacré uniquement à visiter une église près de chez eux et à la découvrir (architecturalement, bibliquement, « sensoriellement »…). Voici ci-dessous quelques témoignages réalisés par des élèves qui donnent un écho de cette démarche vécue par des élèves de 3e secondaire : 

En entrant dans l’église, j’ai tout de suite ressenti une certaine sérénité, du calme. J’ai également été impressionnée par les magnifiques vitraux qui se dressent devant moi au fond de l’église. La grandeur de l’église a aussi fait son effet, la grandeur du bâtiment nous fait se sentir tout petits. Le silence était aussi plutôt dépaysant, étant athée, je n’ai pas l’habitude d’aller dans des églises seule, c’était une expérience bien différente que d’aller à une messe avec plusieurs classes avec des élèves qui parlent tous ensemble. Ça m’a plu, le moment était bien plus personnel et, même si je n’ai pas prié ou ressenti une certaine connexion qu’un chrétien pourrait avoir avec Dieu, cela m’a toujours permis de prendre une «pause» par rapport à ma vie quotidienne. Les œuvres d’art dans l’église m’ont aussi beaucoup plu, je ne m’intéresse normalement pas à ce genre d’œuvre mais cela n’empêche qu’elles étaient très belles et j’ai aimé les admirer. Dans l’ensemble, c’était une expérience plutôt apaisante qui en valait la peine.

Pour moi, chaque endroit a une énergie. Certains en ont de bonnes, d’autres de moins bonnes. Chacun la ressent d’une manière complètement différente. Personnellement, je suis une personne extrêmement sensible aux ondes que peut avoir un endroit. Ça peut être au point qu’il m’est impossible de rentrer dans un lieu tellement que je m’y sens mal. Ici, l’église de Saint-Job est spéciale. Évidemment c’est une église donc elle n’est forcément pas comme un immeuble mais celle-ci est vraiment différente. On pourrait même dire en rentrant dedans qu’elle a une âme. La première chose que je ressens en rentrant dedans est le calme. Bien évidemment, il y a des bruits comme les voitures qui circulent dans la rue, les gens qui parlent, les oiseaux qui chantent,… Mais malgré cela, c’est le calme. Un calme reposant, qui fait du bien au moral et qui éclaircit les pensées. Une des choses qui participe à ce bien-être est l’odeur. Elle est douce et agréable. Elle nous fait sortir de nos habitudes tout en nous faisant sentir vivre. Pour ce qui est du regard que je porte sur cette église, il est indescriptible. Des murs hauts qui me font sentir libre et de grands espaces simplement décorés qui me font oublier la superficialité dans laquelle je vis de temps en temps. En rentrant dans cet endroit, je peux être dans tous les états du monde, j’en ressortirai toujours bien avec moi-même, dans la confiance et la sérénité.

Deux élèves de Mme Sobieski, Institut St-André, Ixelles

Une croisière sur le Earthboat

Bienvenue mesdames et messieurs, pour une croisière à bord du Earth-boat… 

Pendant 2x cinquante minutes, jeunes et professeur embarquent dans une croisière qui leur demandera esprit d’équipe, philosophie et une bonne dose de foi en l’humanité. C’est Odile, l’animatrice Pôle Jeunes d’Entraide et Fraternité qui leur lance le défi.

Car le Earth boot, vous l’aurez compris, c’est notre planète, avec ses cales, sa salle des machines, le poste de commandement, la première classe, la seconde…  

Répartis dans un premier temps en petits groupes, les jeunes analysent la situation actuelle. Où se situent aujourd’hui les multinationales : dans la salle des machines ou au poste de commandement ? Et les élites locales corrompues ? Et les peuples du Sud ? Et nous ? Qui dirige notre bateau commun ?

Alors même que s’engage une tempête inéluctable (alias le réchauffement climatique), les cales se gorgent d’eau. Quelle décision va prendre le Earth-boat ? Que faire devant toutes ces personnes qui remontent vers les cabines ? Comment surtout, voudrions-nous que le bateau se réorganise ? Les jeunes réfléchissent, imaginent. Si certains se demandent s’il est possible de chercher un autre bateau puisque de toutes façons, c’est foutu, d’autres placent l’ONU aux commandes, d’autres encore jettent les multinationales à la mer…  

Avec tact, doigté et surtout une quantité d’informations internationales passionnantes, Odile guide la discussion. Jamais dans la moralisation. « Voilà, dit-elle ce que nous pensons à Entraide et Fraternité… ». Et l’on découvre avec un certain espoir les ressorts de la société civile. Qu’une organisation plus juste est possible. Une place plus adéquate pour les multinationales, des cabines pas forcément de classe différente, …  

En une toute petite après-midi de cours et sans avoir changé de local, c’est tout l’avenir du monde et la responsabilité citoyenne qui se sont invitées dans l’école secondaire. Merci Odile… Nous ferons de notre mieux pour agir et influencer à notre niveau, step by step, la bonne redirection du bateau dans lequel nous sommes tous embarqués, non loin les uns des autres…  

Alexandra Boux

Plus d’infos: https://www.entraide.be/-ecoles-

ou par l’équipe de pastorale scolaire.

Gratitude à Jean-François

Gratitude pour ces 13 années au service de la pastorale scolaire : comme accompagnateur théologique, intervenant aux journées Relais, auteur de nombreux articles, accompagnateur dans les écoles …

Voici quelques très belles pensées de la part de collègues – amis qui ont parcouru un bout de chemin de la pastorale et de la vie avec Jean-François.

Photos : Adeline Breysem

Jean-François

Il faisait froid, sec et lumineux, ce mercredi 25 novembre. Vraiment un temps pour aller marcher. Un temps qui aurait donc convenu à Jean-François. On célébrait ses funérailles pourtant… 

Plus On avance, plus on s’habitue à ne pas s’habituer à cela. 

Quand le cercueil parait, à l’église, on ne s’imagine pas que le corps d’une personne aimée soit enfermé dedans. On ne s’imagine pas… Mais le réel nous tombe dessus. Et où est donc le vrai, dans ce balancement d’imaginaire tronqué et de réalité trop crue ?

Je n’étais donc pas le seul à avoir les yeux mouillés, quand le cercueil de Jean-François est entré dans l’église Saint-Paul à Waterloo. Il était dix-heures trente. Le temps était radieux. Nous étions en tout petit nombre : quinze personnes, tout juste comptées selon les règles.

La cérémonie était sobre (forcément), brève (forcément), mais ce qui n’étais pas forcément assuré, au vu des circonstances, c’était que ce trop petit nombre de personnes représenterait une foule immense. Les paroissiens de Waterloo s’étaient donné le mot : ils resteraient chez eux, allumeraient une bougie, et se recueilleraient pendant les absoutes.

Quel beau symbole…

Jean-François Grégoire (1953-2020) a allumé sans le vouloir de très nombreuses bougies chez de très nombreuses personnes. Il ne vivait pas son sacerdoce dans les nuages. Les racines de son ciel puisaient le suc de sa prière dans la lecture, dans la marche, mais principalement peut-être dans l’amitié. Ses nombreuses affections ont d’ailleurs été évoquées pendant la célébration du 25 : des écrivains, des jeunes, des sportifs, des lecteurs, des paroissiens… des enseignants.

Attardons-nous sur ce dernier terme, puisque nous sommes enseignants.

L’attrait de Jean-François pour les profs remontait à sa plus haute enfance. Firmin, son papa, enseignait les mathématiques à Braine L’alleud. C’est par un professeur de ce collège, d’ailleurs, que Jean-François a commencé à nourrir sa vocation de prêtre. Il aurait bien aimé, lui aussi, être un abbé dans les écoles. Mais les autorités diocésaines ne souhaitaient plus investir dans l’enseignement. Jean-François s‘est retrouvé aux études (deux thèses, tout de même), et en paroisse, puis en prison, comme aumônier.

Je trace à trop grands traits ce parcours riche et sinueux. Mais je pense à ce témoignage de détenu, qu’on a pu aussi entendre à l’église, ce 25 novembre : « Il ne nous considérait pas comme des coupables, mais comme des amis. » Jean-François, qui aimait Brassens, aurait pu dire avec ce chanteur que « Les récompenses, comme  les punitions faisaient partie d’un  système de valeurs qu’il ne partageait pas ». Il aurait pu répéter, avec Simon Weil : « Le premier des principes pédagogiques, c’est que, pour élever quelqu’un, enfant ou adulte, il faut d’abord l’élever à ses propres yeux ».

Jean-François a animé de nombreuses retraites scolaires. Il a très peu enseigné dans le secondaire, mais abondamment ici et là : au séminaire, dans des sessions, dans des parcours théologiques… Puis, à l’invitation de Rosy Demaret, il est entré dans l’équipe de Pastorale scolaire, sous la responsabilité, ensuite, de Marc Bourgois. 

Au cours de nos réunions, il était vivant, attentif, jamais envahissant. Mais il nous invitait discrètement à lever les yeux, à perdre tout esprit de concurrence ou de conquête, à servir les écoles. Servir sans arrière-pensée, au nom de l’Évangile. Pas pour rallier à l’Évangile, mais pour permettre et favoriser la croissance de tous au nom de Jésus-Christ.

Jean-François nous a appris l’absolue gratuité du geste de croire. Dans le balancement entre l’imaginaire dépecé, qui nous dirait : Eh, ce n’est pas possible qu’il soit mort, et le réel brutal : il est bien là, entre ces quelques planches de bois, se lève le vrai. 

Le vrai ? C’est ce qui continue en nous, grâce à lui, avec nous, grâce à Dieu.

Lucien Noullez

Jean-François: 13 ans au service de la pastorale scolaire

Jean-François Grégoire au service de l’Animation Pastorale Scolaire Bruxelles Brabant Wallon : quelques repères …

Jean-François Grégoire, docteur en théologie, en philosophie et lettres et moraliste apparait dans la publication Cardan n°108 de juillet 2005, en un article de fond : « Devenir des spirituels ». Il devient à ce moment « accompagnateur théologique de l’équipe de Pastorale scolaire pour Bruxelles et le Brabant wallon », pour une durée finale de 13 ans. Il a été également durant de nombreuses années référent de qualité au sein de l’équipe d’animation spirituelle du Collège Notre-Dame de Basse-Wavre. Il avait par ailleurs intégré l’équipe enseignante du collège dans les années 90, comme professeur de français. 

Plaçant toujours l’Humain au centre, et concédant aux règles leur juste et raisonnable place, Jean-François a été prêtre en paroisse dans divers lieux, mais toujours au Brabant Wallon, qu’il aimait beaucoup. Il rassemblait des assemblées ferventes et ouvertes à l’avenir.

Jean-François Grégoire a rédigé deux thèses : une en théologie : « L’AMOUR ET LA HAINE DANS L’OEUVRE DE MICHEL DEL CASTILLO », une autre, en lettres sur LE SPIRITUEL DANS L’OEUVRE D’ANDRE DHÔTEL ». Auteur de livres et de nombreuses publications, il a au cours des années animé de nombreux groupes de lecture…

Jean-François a toujours été intéressé, passionné même parfois, par la vie des écoles

Jean-François aimait le sport et les sportifs, courir, marcher. 

Jean-François était aumônier de prison.

Il a aussi collaboré avec Entraide et Fraternité… 

On doit évidemment rappeler son soutien inconditionnel à l’équipe d’Animation Pastorale Scolaire Bruxelles Brabant wallon. 

Son apport a été considérable. L’accueil de l’équipe lors des rencontres au Vert, les eucharisties d’équipe à Saint-Paul (Waterloo), ouvertes aussi aux paroissiens : l’occasion de brefs partages entre les équipiers et ces quelques paroissiens, le plus souvent fidèles eux aussi. 

Evoquons à leur tour les interventions de Jean-François lors de journées des Relais, lors des journées de ressourcement puis de formation, lors des sessions Profs & Chrétiens : un récit banal, une reprise théologique et en un instant, l’anecdote prenait tout son sens, dans des directions et horizons insoupçonnés…

D’un point de vue rédactionnel, lisant Jean-François, chacun pouvait apprécier sa manière de jongler avec les idées tout autant qu’avec l’écrit et ses règles, ses mots, sa syntaxe, sa ponctuation.

Jean-François, dans les premières années, a assuré pratiquement tous les articles de fond du Cardan. Finalement, près de 35 articles de fond, sans compter des contextes de fiches bibliques, invitations à lire, divers apports encore, et depuis novembre 2013, sa relecture quelque peu décentrée et décentrante des mot-clés de l’enquête 2011-2012 du CodiEC, dont la compilation a fait par ailleurs l’objet d’une édition très réussie : « Des mots pour le dire », CoDiEC-Bruxelles, 2019.

Quelques titres d’articles ont fait date dans ma mémoire :

07/2005                      Devenir des spirituels

09/2005                      Pourquoi parler de sources et de re-sources ?

11/2005                      Prière

01/2006                      Exposé « Journée des Relais »

05/2006                      À la rencontre

11/2006                      Opérateurs de rencontre

09/2006                      Un malheur pour la rencontre : le préjugé

01/2007                      Le tiers sans lequel nulle rencontre n’est possible

05/2007                      Écologie, personne et communauté

07/2007                      À deux pas de chez soi

09/2007                      Le repas dans la Bible

01/2008                      Justesse et sobriété

03/2008                      Des animaux au paradis

05/2008                      Écoutez et vous vivrez

11/2008                      L’inouï

03/2009                      Écouter Dieu              

11/2009                      Responsabilité

11/2011                      Sept lois pour vivre ensemble

01/2012                      Huit voies vers la Joie parfaite

11/2012                      Choisir

11/203                        Mot-clé : « accueil »

05/2013                      Fidélité

11/2013                      Vivre le temps

03/2014                      Pâques : « Ne pas attendre de mourir pour ressusciter »

05/2014                      Aimer mon temps

07/2014                      Courage

09/2014                      Pourquoi Jésus-Christ ?

05/2015                      Les poches du Christ

09/2015                      L’école ensemble

01/2016                      Le Jubilé de la Miséricorde

05/2016                      Transitions

07/2016                      « Nous », ou comment vivre ensemble ?

09/2016                      Proposition de lecture de l’encyclique Laudato ‘si

01/2017                      Enthousiasme

03/2017                      Béatitudes

07/2017                      Vacances

11/2017                      Croire et (se) confier : quel rapport ?

03/2018                      Secret et confidence

03/2018                      Confiance en soi ; estime de soi

Gratitude à Jean-François …

Avec l’équipe, Marc Bourgois